Les analyses anatomopathologiques réalisées sur le corps de Michael Goolaerts, décédé d’un arrêt cardiaque lors de Paris-Roubaix, n’ont révélé aucune trace d’alcool, de stupéfiant, ou de médicament courant. La thèse de la mort subite est donc pour le moment confirmée.
« Il n’y a rien de particulier. Ce sont des résultats négatifs. Aujourd’hui, nous n’avons aucun élément qui nous oriente vers autre chose qu’une mort subite, par arrêt cardiaque. Il n’y a pas d’alcool, il n’y pas de stupéfiants et il n’y a pas de médicaments autres que ceux qui ont été utilisés lors de la réanimation. » a déclaré Rémi Schwartz, le procureur de la République de Cambrai.
Des analyses toxicologiques plus poussées vont désormais être réalisées afin de confirmer l’arrêt cardiaque. D’autres médicaments moins connus et qui ne font pas partie de la liste de référence seront ainsi recherchés.
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